Les dirigeants voulaient que les travailleurs démissionnent en raison des mandats de retour au bureau : rapport

Il n’est pas surprenant que les mandats de retour au bureau laissent certains employés consternés : de nombreux travailleurs ne veulent pas abandonner leur travail à domicile et recommencer à se déplacer.
Un nouveau rapport de Bambou RH a révélé qu’environ 25 % des vice-présidents et des cadres supérieurs espéraient que la mise en œuvre de politiques strictes de retour au bureau contribuerait à provoquer un « roulement volontaire » parmi les employés. Pendant ce temps, 28 % des employés à distance interrogés ont déclaré qu’ils envisageraient de quitter leur emploi s’ils étaient obligés de travailler cinq jours par semaine au bureau.
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Bamboo HR a qualifié ce concept de « licenciements déguisés ». Pourtant, environ 40 % des cadres et managers interrogés ont déclaré avoir dû procéder à une série de licenciements au cours de l’année écoulée, car moins d’employés que prévu ont démissionné après les nouveaux mandats.
« Ce niveau d’insatisfaction pourrait conduire à une nouvelle fuite des talents, affectant non seulement le moral mais aussi la stabilité et le potentiel d’innovation de la main-d’œuvre », indique l’étude à propos des employés mécontents d’être obligés de retourner au bureau.
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Le débat sur le retour au pouvoir est une préoccupation majeure des grandes entreprises, notamment AmazoneTesla et Force de ventequi obligera certains salariés à rester au bureau quatre à cinq jours par semaine à compter du 1er octobre.
Selon Oiseau de bureauon estime que 90 % des entreprises américaines disposant de bureaux reprendront le travail au bureau d’ici la fin de 2024.
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