
Cela signifie, d’une part, comprendre comment la technologie peut contribuer aux résultats de l’entreprise et la communiquer efficacement aux membres de l’équipe et, d’autre part, promouvoir la formation continue de ses collaborateurs : les activités de perfectionnement et de reconversion permettent d’attribuer de nouvelles missions aux personnes, en surmontant les difficultés. difficulté à trouver des ressources sur le marché, et à les faire grandir, leur assurant une carrière enrichissante.
Même le DSI ne doit jamais cesser de cultiver ses compétences. Par exemple, Cecilia Colasanti, CIO de l’Istat, l’Institut National de la Statistique, a une formation hétérogène, avec un profil technique développé (elle est mathématicienne, algébriste, et au début de sa carrière elle a travaillé comme programmeuse), mais aussi compétences supplémentaires acquises avec des masters dans des sujets allant de la gouvernance informatique aux sciences du comportement en passant par la confidentialité.
« Cela me permet de m’adresser à la fois à des personnalités techniques et commerciales, pour lesquelles je traduis souvent les aspects informatiques dans un langage non technique », souligne Colasanti. Leadership et aspect humain vont de pair : « Pour moi, le charisme, la flexibilité et la détermination sont les qualités essentielles à posséder », poursuit Colasanti. « Pour être DSI aujourd’hui, nous devons remettre l’humanité au centre des processus numériques : le DSI doit savoir lire les émotions ».
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août 6, 2024
Leaders et people managers : comment le rôle du DSI va évoluer en 2024
Cela signifie, d’une part, comprendre comment la technologie peut contribuer aux résultats de l’entreprise et la communiquer efficacement aux membres de l’équipe et, d’autre part, promouvoir la formation continue de ses collaborateurs : les activités de perfectionnement et de reconversion permettent d’attribuer de nouvelles missions aux personnes, en surmontant les difficultés. difficulté à trouver des ressources sur le marché, et à les faire grandir, leur assurant une carrière enrichissante.
Même le DSI ne doit jamais cesser de cultiver ses compétences. Par exemple, Cecilia Colasanti, CIO de l’Istat, l’Institut National de la Statistique, a une formation hétérogène, avec un profil technique développé (elle est mathématicienne, algébriste, et au début de sa carrière elle a travaillé comme programmeuse), mais aussi compétences supplémentaires acquises avec des masters dans des sujets allant de la gouvernance informatique aux sciences du comportement en passant par la confidentialité.
« Cela me permet de m’adresser à la fois à des personnalités techniques et commerciales, pour lesquelles je traduis souvent les aspects informatiques dans un langage non technique », souligne Colasanti. Leadership et aspect humain vont de pair : « Pour moi, le charisme, la flexibilité et la détermination sont les qualités essentielles à posséder », poursuit Colasanti. « Pour être DSI aujourd’hui, nous devons remettre l’humanité au centre des processus numériques : le DSI doit savoir lire les émotions ».
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