Arrêtez de diriger de votre tête – essayez plutôt cette approche

Il n’y a pas de pénurie de Conseils en leadership en ligne. Faites défiler votre flux et vous trouverez des conseils sans fin pour optimiser votre calendrier, affiner votre pitch ou prendre de meilleures décisions. Après 38 ans de construction et de financement de sociétés de croissance, de monter sur les vagues des marchés des capitaux, des introductions en bourse, des accidents et des réinventions, j’ai appris que la vraie ligne de départ n’est pas mon calendrier ou mon pitch de pitch; C’est mon énergie, la cadence de mon souffle et le poids de mes pieds sur le sol.

Je ne suis pas venu à cette réalisation dans un moment de clarté calme ou sur un coussin de méditation. Il a claqué durement pendant l’une des moments les plus chaotiques de ma vie, après que la grande récession ait anéanti presque tout ce que j’avais construit. Je ne faisais pas seulement face à des pertes commerciales; Mon bilan a saigné, les valeurs immobilières ont été renversées, mais le vrai déficit se dérangeait physiquement et émotionnellement. À l’extérieur, je portais toujours le masque du leader, mais j’étais réactif et dépensé. La stratégie ne pouvait pas atteindre cet endroit; seulement présence pourrait.

C’est là que j’ai découvert leadership incarné.

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De survivre à la direction avec présence

Le leadership incarné est la pratique de diriger non seulement de l’intellect ou de la stratégie, mais de l’intégration de l’esprit, du corps et de l’émotion. Il est ancré dans les neurosciences et utilisé dans des environnements de performance d’élite, y compris les salles de réunion militaires et Fortune 500 spéciales. À la base, il enseigne aux dirigeants à ressentir ce qui se passe à l’intérieur avant d’agir à l’extérieur.

Au début, j’étais sceptique et je l’ai rejeté comme C’est-à-dire. Venant du monde des marchés capitaux et des métriques dures, l’idée de techniques de respiration et la conscience de la posture était trop douce et intangible. Mais ensuite je l’ai testé lorsque j’ai commencé à le pratiquer, trois respirations lentes avant les réunions des investisseurs et me fonder avant de faire un appel à enjeux élevés, j’ai remarqué quelque chose. J’ai pris de meilleures décisions. J’ai communiqué plus clairement. Ma présence a commencé à parler plus fort que mon terrain.

La science derrière le quart

Ce n’est pas seulement des informations personnelles. Il est soutenu par la recherche. Une étude publiée par Yale ont constaté que même de courtes interventions respiratoires réduisaient l’anxiété et amélioré les performances exécutives. Autre recherche a montré que l’adoption d’une vaste posture pendant seulement deux minutes peut augmenter la testostérone, réduire le cortisol et améliorer la confiance et la clarté.

En leadership en temps réel, cela se traduit par une réflexion plus nette sous pression, une prise de décision plus ancrée et une amélioration de la confiance de l’équipe. Pour moi, cela signifiait aussi moins d’épuisement professionnel. Je ne vivais plus dans un état constant de surmultipliée mentale.

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Ce qui a changé dans mon entreprise

Une fois que j’ai commencé à mener à partir d’un état incarné, des changements subtils ont créé des résultats puissants.

• Les réunions des investisseurs sont devenues plus authentiques et efficaces.

• Mon équipe a répondu plus à la façon dont je me suis présenté que ce que j’ai dit.

• Résolution des conflits est devenu moins réactif et plus relationnel.

• J’ai pris moins de décisions basées sur la peur et de meilleures stratégies.

Un exemple vivant: lors d’une discussion tendue, j’ai arrêté une conversation de salle de conférence et pris quelques respirations de centres. À seulement 30 secondes, mais cette courte pause a réglé l’énergie dans la pièce. Ce qui aurait pu se transformer en un débat houleux s’est déplacé vers un dialogue concentré et axé sur des solutions. Si j’avais séjourné sur le pilote automatique, ce moment serait allé très différemment.

Comment les entrepreneurs peuvent l’utiliser maintenant

Vous n’avez pas besoin de devenir un expert de la respiration ou de la méditation pour diriger de cette façon. Si vous êtes un entrepreneur traitant avec incertitudeDynamique d’équipe ou décisions sans arrêt, c’est pour vous. Essayez ces changements simples:

1. Commencez par le corps, pas la feuille de calcul: Avant votre prochaine grande décision, faites une pause. Sentez votre souffle. Détendez vos épaules. Plantez vos pieds sur le sol. Ce enregistrement de cinq secondes peut vous aider à répondre plutôt que de réagir.

2. Recadrer la contrainte en tant que données physiques: Lorsque vous ressentez des tensions telles qu’une mâchoire serrée (une révolutionuse pour moi), un cœur de course ou des poings serrés, ne l’ignorez pas. Ce sont des données. Votre corps vous montre ce qui a besoin d’attention. Les écouter vous donne de la clarté.

3. Plomb avec une présence ancrée: Entrez dans la pièce avec votre souffle bas et la posture forte. Vous parlerez moins et atterrissez plus. Les gens répondent à la façon dont vous entrez avant de dire un mot.

4. Intégrer les pratiques régulières: Si c’est mouvement quotidienla respiration ou l’immobilité, il s’agit de le faire quotidiennement. Il ne s’agit pas de perfection. Il s’agit de cohérence.

Pourquoi cela compte plus que jamais

Dans un monde de perturbation constante, de surcharge d’informations et de décisions axées sur l’IA, ce qui distingue les dirigeants n’est pas seulement l’intelligence ou l’innovation. C’est présence. La capacité de rester à la terre est un avantage concurrentiel. Il vous aide à constituer des équipes résilientes, à naviguer sur la volatilité et à prendre des décisions authentiques.

J’ai travaillé avec des dizaines de PDG via des introductions en bourse, des pivots et des sorties. Ceux qui mènent le mieux ne sont pas toujours les plus bruyants ou les plus audacieux. Ils sont les plus stables. Ils sont les plus incarnés. Ce sont les dirigeants qui peuvent rester stables dans la tempête et diriger avec clarté lorsque les enjeux sont les plus élevés.

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Le leadership n’est pas seulement ce que vous dites. C’est ainsi que vous vous présentez. Et la façon dont vous vous présentez commence dans votre corps.

S’il y a une chose que j’aurais aimé adopter plus tôt dans ma carrière, c’est celle-ci: vous n’avez pas besoin d’avoir toutes les réponses. Mais tu as besoin de être présent. Et la présence est quelque chose que vous pratiquez, pas une performance.

Parce qu’à la fin de la journée, les entreprises se lèvent et prennent des décisions. Mais un grand leadership? Il vit en présence.