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juillet 15, 2019

Alors que beaucoup cherchent une sortie, le PDG d’Island Cannabis prévoit de garder la société privée


Ray Landgraf a lancé sa société "au profit" pour vendre de bons pré-rouleaux, pas la société elle-même.


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Cette histoire a été publiée à l'origine sur Benzinga

«Gardez la durabilité au cœur des préoccupations. Poussez l'enveloppe de l'innovation. Laissez le monde meilleur ».

Ces valeurs, tirées du site Web de Island Cannabis Co. ne sont pas simplement un vernis favorable aux relations publiques.

Lancé en 2014 par Ray Landgraf, le Le produit phare de la société «à but lucratif» est le pré-roll Island Classic, provenant d'une souche saisonnière unique cultivée par un réseau de petits agriculteurs. Leur engagement à créer un produit du cannabis distinct de tous les autres s'accompagne d'un engagement à redonner à leurs fournisseurs, ce qui se traduit par leur soutien actif et leurs dons à des organisations telles que la Drug Policy Alliance, ACLU et NORML.

Benzinga a pris contact avec Landgraf, PDG et fondateur d’Island, discutera de ce qui rend la société si spéciale, de ses projets d’expansion et de ses espoirs de légalisation.

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"Evénements d'extinction réglementaires".

Lorsque le premier produit d'Island a été lancé en 2015, l'espace de pré-roll était "pratiquement inexistant", a déclaré M. Landgraf.

Le directeur général a déclaré que son objectif était de Il a cherché à incarner sa passion pour l'exploration, la communauté, le plein air et "des moments de bonheur inspirants avec nos clients".

La fleur de l'île est saisonnière et à une seule souche, et provient de "Un réseau de petites exploitations californiennes, a déclaré Landgraf.

" Dès le premier jour, nous avons vraiment approché Island d’un point de vue à long terme, dans le but de créer une véritable entreprise. Lorsque nous avons créé la marque, nous avons choisi ce qui serait attrayant pour un public plus large. ”

Les emballages d'Island Cannabis Co. bousillent les stéréotypes du stoner et abandonnent“ 420 ”, des feuilles vertes ou jouent du“ canna ”. Lancé entièrement sur le marché blanc, Island Cannabis n’avait pas le même accès au capital que de nombreux autres disques ayant des activités sur les marchés noir et blanc, a déclaré le PDG.

«Quand nous avons commis des erreurs, ils ont étaient des erreurs de 10 000 $, pas des erreurs de 100 000 $; nous avions tellement de ressources, et je pense que c’est une expérience que Brandon Mills et moi-même avons avec des startups qui se traduisent réellement. »

La disparité entre les lois fédérales et fédérales reste un défi majeur qui

L'accès aux activités bancaires, au financement traditionnel et à l'achat de biens pour y mener des opérations est soumis à l'illégalité du gouvernement fédéral.

«Le contexte réglementaire est en constante évolution, donc même en Californie, nous ' Depuis 18 mois, quatre secteurs de la réglementation commencent à appeler «événements d'extinction» quatre événements réglementaires majeurs. "

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Prévoit rester privé.

Dans une industrie qui semble très attachée à la consolidation, Island Cannabis Co. fait figure d'exception en raison des antécédents de leurs fondateurs, Landgraf ils ont choisi activement de maintenir la confidentialité de leur entreprise.

«Les coûts de mise en conformité sont énormes et les disparités de législation fédérales sont lourdes de conséquences, ce qui rend difficile la gestion d'une entreprise rentable. Donc, avoir une empreinte plus grande et pouvoir centraliser la planification des achats, de la conformité, de la comptabilité et des finances – au lieu d'essayer de répartir les mêmes coûts avec une empreinte plus petite – a beaucoup de sens. "

Landgraf a précisé que l'entreprise envisageait encore d'autres sociétés qui s'alignaient sur sa vision du cannabis.

«À un moment donné, il serait peut-être logique que nous participions à ces discussions de consolidation, mais Ce n'est pas ce sur quoi nous nous concentrons en ce moment ", at-il déclaré." Pour le moment, nous nous concentrons sur ce que nous faisons. Nous nous concentrons donc uniquement sur la création d'une entreprise durable et autonome. "

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«Intérêt zéro» dans une introduction en bourse

Dans le cannabis, l'environnement de la collecte de fonds a rapidement changé ces derniers temps.

Initialement, Island était autofinancé et fonctionnait selon ce que Landgraf appelle «la définition la plus stricte» ce que j'appellerais de vrais "amis et famille". "

La société passe ensuite dans l'environnement de la grande fortune et de la collecte de fonds.

" Nous participons actuellement à des discussions avec davantage de capital institutionnel. Nous n'avons actuellement pas l'intention de procéder à un premier appel public à l'épargne, et nous souhaitons construire cette affaire en privé aussi longtemps que nous le pourrons. "

Mills et Landgraf ont tous deux travaillé au sein d'équipes de direction de sociétés cotées en bourse, et Landgraf a déclaré qu'ils n'avaient" aucun intérêt " être public jusqu'à ce que cela ait du sens. "

Island Cannabis opère comme ce qui semble être le premier jour d'une industrie de plus de 100 milliards de dollars et a dû construire sa propre infrastructure, a déclaré le PDG.

Ce n’est pas un environnement d’exploitation qui se prête bien aux chiffres trimestriels et au positionnement à court terme, a-t-il déclaré.

"Le fait de rester privé témoigne du fait que nous souhaitons construire quelque chose de spécial à long terme. Nous ne nous soucions pas vraiment de mesurer sa nature à court terme. "




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