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novembre 29, 2022

Un tribunal français déclare que l’homme a été licencié à tort pour ne pas être « amusant »


Vous ne pouvez pas être viré parce qu’une entreprise ne pense pas que vous êtes assez « amusant ».



Frédéric Soltan I Getty Images

La Cour de cassation de Paris.

Du moins, c’est selon la plus haute cour de France, la Cour de cassation, qui a statué plus tôt ce mois-ci qu’un homme qui avait été licencié pour ne pas vouloir participer à certaines activités de l’entreprise présentées comme faisant partie de leur culture « fun » avait été licencié à tort, selon Le Washington Post.

L’équipe juridique de l’homme a dit leur client n’était pas considéré comme « amusant » parce qu’il refusait de participer à des événements d’entreprise avec de grandes quantités d’alcool. L’homme a également revendiqué une culture de travail où les gens faisaient des activités telles que mimer des actes sexuels, partager des lits avec d’autres employés lors d’événements professionnels et donner aux gens des surnoms grossiers, selon le point de vente.

Une traduction Google des documents judiciaires a qualifié ces actes de « pratiques prônées par les associés liant la promiscuité, l’intimidation et l’incitation à divers excès ».

La décision indique que l’homme a été licencié en mars 2015 pour ne pas avoir adopté la culture « fun » de l’entreprise (l’appelant « l’incompétence professionnelle ») ainsi que pour sa personnalité plus rigide, selon les documents.

La société en question est Cubik Partners, une société de conseil en gestion. Il n’a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire.

La France est connue pour son pro-employé lois du travail et des blagues bien connues sur la façon dont il est Impossible de se faire virer là-bas. C’est aussi généralement vrai pour les autres pays d’Europedont l’Irlande, où le Twitter d’Elon Musk a déjà fait face à un injonction temporaire pour avoir licencié un dirigeant basé là-bas.

Dans cette affaire, le tribunal a statué que licencier un employé pour ne pas avoir fait les activités en question constituait une violation de « sa liberté d’expression » et que c’était une « liberté fondamentale » de ne pas s’engager dans une sorte d’activité sociale.

L’employé licencié avait demandé plus de 400 000 dollars américains, ce que la Cour d’appel de Paris a rejeté l’année dernière. Cette décision a annulé en partie le rejet de ce tribunal, a ordonné à l’entreprise de donner à l’ancien employé 3 000 euros et a déclaré qu’elle examinerait sa demande de dommages-intérêts à un moment donné dans le futur, par Initié.




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novembre 29, 2022