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Vous pensez qu’EDR vous soutient ? Détrompez-vous.

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Les équipes de sécurité sont aujourd’hui soumises à une pression constante. Chaque heure, de nouvelles menaces émergent, les acteurs de la menace innovent et les surfaces d’attaque s’agrandissent. Endpoint Detection and Response (EDR) est devenu l’outil incontournable pour de nombreux centres d’opérations de sécurité (SOC), et pour cause. EDR offre une visibilité sur l’activité des points de terminaison, fait apparaître les comportements suspects et permet des actions de confinement. Mais la vérité est que l’EDR à lui seul ne suffit pas à se défendre contre les menaces avancées d’aujourd’hui.

Pour aller au-delà de la lutte réactive contre les incendies, les SOC doivent Forensique numérique et réponse aux incidents (DFIR) des solutions qui creusent plus profondément, préservent les preuves et fournissent des capacités d’enquête et de réponse de niveau médico-légal. Ensemble, EDR et DFIR donnent aux SOC à la fois la rapidité nécessaire pour contenir les menaces et la clarté nécessaire pour les comprendre.

Les limites de l’EDR pour les menaces modernes

EDR a gagné sa place de pilier dans cybersécuritémais il comporte des limitations assez importantes :

  1. La détection n’est pas une enquête : L’EDR est conçu pour détecter les activités suspectes, et non pour effectuer une analyse médico-légale approfondie. Une alerte peut indiquer qu’un processus se comporte étrangement, mais elle peut ne pas révéler comment l’attaquant a obtenu l’accès, à quelles données il a accédé ou si la persistance a été établie. Sans ces informations, les SOC risquent de traiter les symptômes plutôt que de s’attaquer aux causes profondes.
  2. Les lacunes de couverture laissent des angles morts : Les points finaux ne sont plus soigneusement confinés dans un pare-feu d’entreprise. Les appareils distants, les systèmes hors VPN et les actifs non gérés échappent souvent à la visibilité des EDR. Les acteurs de la menace sont conscients de ces angles morts et les exploitent, laissant les SOC dans l’ignorance.
  3. Les attaquants peuvent échapper à l’EDR : Les attaquants modernes utilisent des logiciels malveillants sans fichier, des techniques de survie et des applications tierces compromises pour éviter d’être détectés. Dans le cas d’un récent TransUnion enfreindreles attaquants ont exploité un système tiers, ce que les outils EDR traditionnels ne signaleraient pas.
  4. Valeur limitée pour les besoins de conformité et juridiques : Les alertes EDR peuvent contribuer au confinement, mais elles fournissent rarement les preuves défendables devant les tribunaux nécessaires aux régulateurs, aux auditeurs ou aux assureurs. À l’ère des règles de divulgation de la SEC, des amendes du RGPD et des exigences DORA, le traitement des preuves n’est pas facultatif, mais obligatoire.
  5. Le changement de contexte fait perdre du temps : Même lorsque l’EDR signale une compromission, les équipes SOC doivent souvent se tourner vers d’autres outils pour mener des investigations, des mesures correctives et des rapports plus approfondis. Ce changement de contexte fait perdre du temps dans des moments où chaque seconde compte.

Pourquoi « EDR-plus » n’est pas la même chose que DFIR

Certains fournisseurs EDR prétendent proposer DFIR en tant que fonctionnalité complémentaire. Cependant, dans la pratique, leurs solutions restent avant tout EDR, conçues pour la détection plutôt que pour une enquête approfondie. Ce biais EDR se manifeste de trois manières importantes :

Pourquoi les SOC ont besoin à la fois d’EDR et de DFIR

Ce qu’il faut retenir est clair : l’EDR est essentiel pour une détection et un confinement rapides, mais il n’est pas conçu pour une analyse médico-légale approfondie. Un SOC mature nécessite à la fois un EDR pour la vitesse et DFIR pour une enquête approfondie. Voici pourquoi :

Un exemple concret

Considérez un scénario possible : un outil EDR signale une activité PowerShell suspecte sur un ordinateur portable, déclenchant le confinement, mais le SOC a encore besoin de réponses :

EDR ne peut pas répondre à toutes ces questions. DFIR peut. Grâce à la reconstruction scientifique de la chronologie, les analystes peuvent retracer le chemin de l’attaquant, identifier les mécanismes de persistance et déterminer si les données sensibles ont été compromises. Sans DFIR, le SOC reste dans l’incertitude.

La valeur business du DFIR pour la cyber-résilience

Au-delà des avantages techniques, criminalistique numérique et réponse aux incidents produire des résultats commerciaux tangibles qui retiennent l’attention des dirigeants, des conseils d’administration et des régulateurs :

Pourquoi OpenTextMT Endpoint Forensics & Response complète l’EDR

Chez OpenText, nous considérons le DFIR comme une fonctionnalité essentielle pour tout SOC moderne. Analyse légale et réponse des points de terminaison OpenText combine les enquêtes médico-légales et la réponse aux incidents en une seule solution.

En bref, OpenText Endpoint Forensics & Response complète l’EDR en donnant aux SOC à la fois la rapidité de réponse et la profondeur médico-légale nécessaire pour répondre en toute confiance.

Construire un SOC prêt à faire face aux menaces actuelles

La réalité est claire : l’EDR à lui seul ne suffit pas. Les attaquants sont trop sophistiqués, les menaces évoluent trop rapidement et les régulateurs exigent trop des organisations qu’elles s’appuient uniquement sur la détection.

Un SOC mature combine l’EDR avec la criminalistique numérique et la réponse aux incidents (DFIR). Tandis que l’EDR identifie les activités suspectes et initie le confinement, le DFIR fournit l’enquête approfondie, les preuves et la réponse nécessaires pour résoudre pleinement les incidents. Ensemble, ils permettent aux organisations de réagir plus rapidement, de prendre des décisions plus judicieuses et de renforcer leur résilience.

AvecAnalyse légale et réponse des points de terminaison OpenTextles SOC ne se contentent pas de réagir aux menaces : ils enquêtent, contiennent et en ressortent plus forts.

Prêt à renforcer votre SOC avec une réponse de qualité médico-légale ? Contactez OpenText dès aujourd’hui pour découvrir comment notre solution OpenText Endpoint Forensic and Response DFIR complète l’EDR pour réduire les risques, améliorer la conformité et renforcer une résilience durable.

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